Editorial de Henri J.Nijdam
Quelle gouvernance pour l'entreprise FRANCE, une entreprise structurellement déficitaire et surendettée.
Une entreprise qui a reculé de la 13 éme à la 17 éme place en 10 ans et qui a vu l'un de ses "confrères", si ce n'est concurrent, le plus proche, lui passer devant ?
Une netreprise dont l'objectif devrait être maintenant de stabiliser sa position, à défaut de reconquérir une place à jamais perdue.
La présidentielle et les législatives sont comparables à une assemblée générale ordinaire d'actionnaires qui doit choisir son PDG et son conseil d'administration, un business plan et une compétence. Choisir entre unepolitique de l'offre qui repose sur une amélioration de sa compétitivité, une meilleure allocation de ses charges, une augmentation de la qualité de son offre produit, et une politique de la demande qui reposerait surtout sur le bon vouloir de ses clients, hexagonaux et mondiaux.
Choisir entre d'abord la réduction de son déficit et de son endettement afin de récupérer des marge sde manoeuvre, et la mise en place de charges supplémentaires dans l'espoir qu'elles soient plus productives de richesses que les précédentes.
Choisir un manager au profil " gestionnaire et développeur", ou au profil "DRH et marketing".
Mais ce n'est pas tout. Cette assemblée devra, dans la foulée, choisir un conseil d'administration représentatif de ses actionnaires et de leur volonté, en mesure de jouer pleinement son rôle de contre-pouvoir.
Et non plus se contenter, comme cela est souvent le cas dans les conseils, de n'être qu'une chambre d'enregistrement des desiderata de son president.
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