Poids de la tradition libérale, les gérants d'actifs des pays anglo-saxons sont les plus enclins à considérer que les actionnaires individuels jouent un rôle "important" dans la création de valeur : il sont 60 % aux Etats-Unis et 50 % en Grande-Bretagne.
Mais le score est identique en Allemagne (pays récemment converti à la bourse) et au Benelux.
Les Français, eux, sont très loin derriére : seuls 18 % des gérants de l'Hexagone jugent important le rôle des particuliers en France !
Les présidents de société savent bien, pourtant, que ce sont eux, les actionnaires les plus fidèles, qui jouent un rôle stabilisateur prcéieux lors des périodes de turbulence. Tous en revanche s'entendent (entre 74 % et 87 %) pour réclamer des entreprises qu'elles portent une attention plus grande à l'actionnaire. Et, logiquement c'est en France que cette attente est la plus forte.
jeudi 26 octobre 2006
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