jeudi 14 décembre 2006

Suite débat Sarko-Ségo : les prises de position de Nicolas Sarkozy sur les actionnaires et les PME

Actionnaire et fiscalité
Nicolas Sarkozy
: « ISF : au nom de quel raisonnement, faudrait-il exonérer totalement la résidence principale ?
On ne peut pas déplorer que la France manque d’actionnaires et favoriser ceux qui ont investi dans la pierre »

Gouvernance d’entreprise
Nicolas Sarkozy : « il y a d’autres progrès à faire dans la gouvernance des entreprises [en plus de l’amélioration du dialogue social] : sur la transparence, la sanction des erreurs, la responsabilité… Je suis très ouvert. Je ne pense pas que l’actionnaire doive décider seul dans l’entreprise : la richesse d’une société, c’est son capital mais aussi le travail des salariés.
Je suis favorable à ce qu’on associe les hommes et les femmes au maximum ; j’ai d’ailleurs proposé qu’on ouvre les stocks options à tous et je suis prêt à aller plus loin. Mais à une seule condition : qu’on ne rigidifie pas le fonctionnement des entreprises par des règles nouvelles »

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Pour info, lors de ce débat Sarko s’est également prononcé sur la question des règles de gouvernance.

Faut-il des règles de gouvernance européennes qui ne soient pas celles des Etats Unis ?
Sarko a répondu (copy/paste) : « C’est vital. Il faut un statut de l’entreprise européenne, une façon de faire européenne. La mondialisation n’est pas le triomphe d’un seul système, d’une seule culture. C’est au contraire la chance pour toutes les cultures de se faire entendre. Je ne suis pas partisan de l’uniformité. En même temps j’apprécie certains aspects du capitalisme américain, comme sa capacité à sanctionner les abus »

Ce serait bien si ce dernier pouvait nous en dire plus sur sa vision d'une "gouvernance européenne" !!!

Anonyme a dit…

Pour info : ISF, impôts : ce qui pourrait changer en 2007
Fiscalité : les intentions des principaux candidats à l'élection présidentielle en matière de patrimoine de dessinent dans le Figaro Patrimoine du vendredi 15 décembre 2006.